Je vois encore tournoyer les dés aveugles
comme des mains noyées
Elles se recherchent
pour briser les cristaux de l’oubli
pour écrire un vaste ciel
d’appels parfumés d’amour
et de sentiers de danseurs
aux pas fleuris
© Mokhtar El Amraoui in « Chante, aube, que dansent tes plumes ! »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire