Au-delà des amers remparts
De l’acerbe doute
Rampent dans leur crépusculaire glu
Ils écrivent en leurs sifflements calligraphes
Un reste d’acides aphones lumières
Que sert encore dans ses fosses l’oubli
Sautillant entre les souvenirs piégés
Qui se débattent dans ses nasses d’automne
Jetées des barques aux traversées sans retour
Grimaçant de leurs éternels sourires
Jusqu’aux aboyantes carnassières rives
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire