Forêt que de contes t’habitent
Pour celles et ceux qui savent te rencontrer
Tu ouvres les bras rieurs de tes arbres
Qui se font sœurs et frères d’accueil
Aux magiques fraîcheurs parfumées
Pour les cœurs amoureux des promeneurs
Tes ivres ombres en bises et vent ne sont en faîtes
Jamais frayeurs enfantant des monstres fous
Ou sanguinaires cerbères et affreux loups
Mais les doux froufrous de tes feuilles et herbes
Offrent de sublimes interminables symphonies
Couronnées de chantants douillets nids
Tes infinies douceurs se déploient toujours
En douces heures de serein repos et bonheur
Bien loin des vains tumultes de la fausse vie
De ses douleurs et poisons de doux leurres
Tout en toi croît dans un majestueux silence
Vers d’ascendantes fusions et convergences
Forêt tout en toi grouille de vie
Tu es synergies d’espérances
Pleines de multiples fruits et réjouissances
De tes frondaisons jusqu’à tes minuscules êtres
Tu dévoiles à celles et ceux qui t’aiment
Ton somptueux grand livre des harmonies
©Mokhtar El Amraoui in "Nouveaux poèmes"
Mon dessin
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